restitution de la rive gauche

la rue du Dieu de Pitié commence avec cet oratoire, un Christ [assis] aux liens, datant de 1619

les caboulots 322 et 323; jadis, l'entrée de 323 était une grande porte cochère, ce qui est étonnant vu que la largeur de l'immeuble ne dépasse pas 3 mètres...

ruine du tec 324 et entrée du 323; la pente du toit de 324 est paradoxalement en pente vers le fond

l'entrée de 321, parfois appelé forge, qui contient une cheminée et qui avait un écriteau sur le pignon qu'on ne voit pas "Patin, tonnelier"

restitution des 3 caboulots disparus de la rive gauche de la rue du Dieu de Pitié, aquarelle d'Isabelle Perrin, 24 x 32 cm (21 août 2010)

la face arrière des trois caboulots 321, 322 et 323; en regardant bien, on voit une porte ouvrant sur un jardin (près du mur du jardin communal) voir aussi la disparition des jardins cadastrés AB 197

le 26 mai 1986, la pelleteuse a mis fin aux jours de cet immeuble, très vétuste et devenu dangereux, sous le mandat du maire Bernard Chauvin

sur cette fenêtre, un volet portait l'inscription "Patin, tonnelier"

on voit mieux ici la porte qui donnait sur un jardin, murée. Cette porte donnait sur un "cabinet au fond du jardin", comme en témoigne une vue aérienne. En 2010, les cinq caboulots sont tous devenus des emplacements pour les automobiles des riverains