A nous deux, Paris !
A l' (aimable) invitation de Patrice Ducordeaux,
créateur de cette évocation de Gustave
Courbet, nous nous sommes rendu dans la cité non
interdite mais tout de même impériale de
Tavaux, au chevet de l'église Sainte Anne, au
local de la coopérative Solvay.
L'entreprise qui de loin ne cachait pas son ambition
s'est muée de près en projet fou... mais
les paris seront tous tenus: c'est bien ce qu'il
apparaît au profane qui serait arrivé avec
un peu de retard. L'ouvrage est redoutable mais les
partenaires disciplinés. On peut ajouter donc
dire, puisque la chose est singulière, comme le
maître est patient.
Dans l'ensemble, l'expédition est bien
comprise de tous, mais les points de détail
à résoudre sont nombreux, sûrement
plus que les comédiens (je parle du nombre de
comédiens, 47 titulaires sans le chien et 65 en
tout). Il s'agit de faire en sorte, comme en
mécanique, que toutes les parties mobiles soient
graissées, concept qu'on raccourcit aujourd'hui
par l'expression "que tout baigne dans l'huile".
Tout cela promet du beau, du bon et du bien et nous
tiendrons notre langue jusqu'à la première.
Ceux qui veulent la suite s'y rendront.
- au
centre socio-culturel du CE Solvay, à
Tavaux, le 30 juin 2007 à 18 h,
- au centre
socio-culturel du CE Solvay, à Tavaux, le
1er juillet 2007 à 17 h,
- à Dole, parvis
de la médiathèque, le 7 juillet
à 19 h 30,
- à
Mont-sous-Vaudrey les 14 et 15 juillet à 18
h (à l'occasion de la commémoration
du bicentenaire de la naissance de Jules
Grévy)
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