village de moissey

avec Jean-Louis Dengerma, son directeur depuis 1997

la carrière de moissey en 2004 (le 15 avril)

texte Christel Poirrier, avec les apports de Edmond Guinchard (monographe de Moissey, 1913), Laurent Poupard (conservation du patrimoine industriel, 1988), Jérôme Cornéglio (écolier-auteur, 1991), Jean Nicolin (carrier à Moissey du 24 mars 1949 au 13 juin 1986), Jean-Louis Dengerma (directeur de la carrière du 1er mars 1997 à nos jours)

illustrations ©auteurs indiqués

la petite histoire

Avec la Journée du Patrimoine de Pays, c'est la première fois que des instances culturelles rendent hommage à la pierre et ce n'est que justice. Les Carrières de Moissey et Serre Vivante collaboreront à une exposition (et une visite guidée le 20 juin 2004) qui sera accueillie sur les terres du village, qui enfin, à sa manière, pourra honorer la présence de cette mamelle ouvrière longtemps nourricière pour les Moisseyais et les Offlangeais, au moins.

Ceux qui le désireront pourront apprendre que le filon porphyrique a dû (a pu) être découvert au moment de la percée du Chemin Départemental d'Auxonne à Orchamps, le CD 37, qui, pour nous, fait Moissey-Amange, en 1850, puisque les vieux papiers attestent de la présence de cette pierre dure dès 1855.

De cette date à 1918, cette pierre est tirée par des "prestataires" indépendants, à la demande, et avec des moyens très manuels. L'expropriation de ces bois communaux au profit des Ponts et Chaussées marque une volonté d'une exploitation plus rigoureuse, plus organisée et avec des objectifs plus publics. Il faut dire qu'on vient de s'apercevoir que le gravier de Moissey offrait une résistance exceptionnelle à l'érosion des hommes, mais c'est à cette heure d'un intérêt tout relatif. Vers 1930, un ingénieur qui travaille à Clerval amène à Moissey ses hommes et ses machines et dès ce jour, on peut parler de mécanisation et d'industrialisation (concasseur du bord de la route, le P1, voies ferrées de 50, tramway, camions). L'exploitation de Jean-Marcel Téliet, puisque tel est son nom, emploiera jusqu'à 100 personnes. Monsieur Téliet a des idées avancées sur le socialisme dans l'entreprise, qu'il ne pourra pas toutes mettre en application. Il décède en 1954.

Après quelques années, sous les enfants Téliet puis COGENOR -c'est en 1956 que le CD 37 est franchi- l'exploitation est acquise pour moitié par Alphonse Pernot de Crotenay et la SCREG, Société Chimique et Routière et d'Entreprises Générales (le "G" de SCREG signifiait au départ Gironde, son lieu de naissance) en 1960. A ce moment, la dureté du gravier de Moissey se classe parmi les 5 meilleurs de France et voit une application primordiale de sa résistance, c'est l'essor et l'entretien du réseau routier. En 1995, la surface exploitée passe sur le territoire communal d'Offlanges, apportant à ce village la taxe à la tonne au détriment de Moissey.

Alphonse Pernot, qui est entré en carrière parce qu'il fournissait préalablement des sables et des graviers champagnolais à la SCREG, passera rapidement le relais à son fils Camille Pernot, qui sera obligé d'aménager continuellement ses façons de faire, vu la demande de la clientèle: sa réalisation la plus marquante sera le poste dit P3 qui concasse et crible de l'autre côté de la route depuis 1975. Le P3 sort des Ateliers Bergeaud de Mâcon (ABM). Le poste de concassage est alors transformé en poste de lavage.

Camille se retire des affaires le 1er mars 1997 et c'est Jean-Louis Dengerma qui lui succède, comme directeur technique. Jean-Louis Dengerma est ingénieur TPE et il s'occupe de tout, les hommes, les machines, le rendement, le commerce etc... l'autre pôle de cette gestion bi-céphale est naturellement Yves Pernot, qui est PDG Co-gérant de la Société des Carrières de Moissey, co-gérant puisque l'autre moitié de l'entreprise appartient à la SCREG.

En 1999, les successeurs de Camille Pernot construisent de nouveaux bureaux sur le sommet du chantier et font adhérer l'entreprise aux normes du moment, normes de sécurité, d'hygiène, de rendement. Nouvelles enceintes, nouvelles machines, sous-traitance des tirs de mine, livraison régionale des graviers par la SET Pernot (18 gros camions de route, PDG Yves Pernot). En avril 2004 (le 15), le chantier que nous avons visité tourne comme une montre, quand ce n'est pas comme une horloge: le plus impressionnant, c'est la synchronisation générale de toutes les opérations, chargements des blocs, concassage criblage et re-concassage et re-criblage, puis lavage, égouttage, pesage et enfin livraison immédiate. Un gravier qui, comme nous, s'interrogerait pour savoir d'où on vient et où on va, pourrait fort bien avoir été arraché au front de taille le matin à Moissey et se retrouver le soir dans la banlieue lyonnaise.

petites informations géologiques

 

Contexte géologique.

Le massif de la Serre est constitué par une assise de roches métamorphiques (gneiss grossiers) plongeant vers le Nord-Ouest selon un pendage variant de 10 à 30 degrés. Durant le primaire, des coulées de tuf volcanique se sont épanchées sur cet ensemble modifiant localement la structure des graviers encaissants et réciproquement, la présence des gneiss au pied de la coulée par un phénomène de métamorphisme de contact a induit dans les niveaux inférieurs du tuf volcanique des modifications de structure et de texture.

On observe ainsi dans la carrière et sur les affleurements qui se prolongent jusqu'à Serre-les-Moulières de nombreuses zons enclaviques de matériau volcanique à tendance gneissique très marquée qui montrent la transition pétrographique entre le tuf et les gneiss sous-jacents.

Nature du sous-sol.

Des études antérieures ont permis de définir la pétrographie des terrains de la carrière de Moissey et d'étendre cette connaissance à l'ensemble du gisement de Moissey à Saligney du fait de l'homogénéité du matériau.

En schématisant, on peut classer les différents termes pétrographiques selon la chronologie verticale suivante, du haut vers le bas:

 

tuf volcanique micro-grenu:

C'est une roche micro-grenue dont la couleur varie du vert (le plus fréquent) au rouge brun, en passant par une couleur gris-bleu (relativement rare). Cette variation de couleur est due à des degrés d'oxydation différents, en particulier au niveau de l'oxydation ferrique. Fréquemment, on observe en inclusions des petits cubes de pyrite (FeS2) dont l'arête peut présenter une extension de 0,3 à 0,7 mm. La pâte qui constitue l'essentiel de la roche a une composition acide quartzo-feldspathique. A l'affleurement, ce faciès se distingue par un débit caractéristique en petits parallélépipèdes décimétriques. La roche très finement diaclasée est fréquemment patinée de rouge et de gris. Par opposition aux termes inférieurs, ce niveau présente un aspect beaucoup moins massif et donne l'aperçu d'une succession de petits bancs de 10 à 50 cm de puissance.

 

tuf volcanique pigmenté:

Ce faciès se distingue du précédent par l'apparition dans la trame (90 à 95% de la roche) de petits cristaux de felspaths rose millimétriqurs. Si au niveau de sa tructure et de sa composition, ce terme ne diffère que très peu du faciès précédent, son apparence sur affleurement est beaucoup plus massive, les bancs sont beaucoup moins diaclasés. La pâte rocheuse est plus généralement de couleur verte à gris-bleu.

 

tuf volcanique grenu:

Le passage du faciès pigmenté au faciès grenu est diffus et progressif. Arbitrairement, on a convenu de parler de terme grenu lorsque la présence de cristaux de feldspths rose s'accompagnait de l'apparition de de quartz en grains arrondis. Les phénocristaux (quartz et feldspaths rose) constituent alors 20 à 40% de la roche, tandis que la trame correspond au faciès grenu décrit plus haut. On peut observer localement la resilicification totale ou partielle de la roche, ce qui confère une très bonne tenue aux essais géotechniques.

 

tuf gneissique: non exploité.

gneiss oeillé: médiocre, non exploitable.

Les niveaux que l'entreprise extrait sont le tuf micro-grenu, le tuf pigmenté et le tuf volcanique, représentant une épaisseur moyenne de 15 à 20 mètres exploitable, ces trois matériaux constituant le filon de tuf volcanique ont des qualités géotechniques qui justifient leur emploi en tant que matériaux nobles pour couche superficielle de chaussées.

Document emprunté au dossier de demande d'autorisation préfectorale en 1997.

la pierre siliceuse et le gisement

 

L'activité principale de l'établissement est la production de granulats (sables, graviers) par concassage-criblage à partir de la roche euritique extraite de la carrière. Ce traitement permet d'obtenir un classement des produits d'après leur classe granulométrique.

Sables 0/4

Gravillons 4/6; 6/10; 10/14

Graves 0/20; 0/315; 0/50.

L'entreprise assure le stockage et/ou fait procéder à la livraison.

 La SCREG-Est, Co-gérante, consacre une page de son site à la Carrière de Moissey


Dans notre quête, nous avons d'abord entendu parler d'Eurite, jusqu'à l'année 1950, puis insensiblement et clairement depuis 1960, on parle couramment de porphyre. L'appellation porphyre est une façon d'exprimer, en langage pétrographique, la proximité étroite qu'il y a entre la pierre extraite sur Moissey et le porphyre, égyptien par exemple. A l'heure qu'il est, les géologues et pétrographes universitaires ne se sont pas encore clairement mis d'accord sur la définition "chimique" de la pierre de Moissey et les professionnels savent en tout cas, ce que recouvre l'appellation "porphyres de Moissey".

La valeur du porphyre de Moissey tient à sa haute résistance. En effet le gravier installé sur les routes subit une érosion de roulement de plus en plus accrue et le gravier de Moissey est un des plus résistants, donc de vie plus longue, donc induisant un renouvellement des routes plus espacé, donc une économie pour la maintenantce autoroutière. L'espérance de vie d'un revêtement routier est de l'ordre de la décennie.

Le volume de porphyre, selon études et sondages, ressemble à une dalle, une lame, inclinée de 18 degrés vers le Nord-Est, son épaisseur varie de 15 à 25 m, sa longueur n'est pas mesurée, et sa largeur, pour la partie exploitable est de 100 m. Mais elle s'enfonce vraisemblablement beaucoup plus profond, sous, par exemple, le village d'Offlanges.

Il faut d'abord découvrir la pierre qu'on veut extraire, cette opération, comme la terre retirée, s'appelle "la découverte". L'exploitation se fait par gradins, de haut en bas. Après qu'une "marche" ait été exploitée, elle est rendue à la nature par apport de couverture végétale et de re-plantation. Ainsi, si l'on peut dire, la carrière ne fait que passer. Le minier fait des trous verticaux à quelques mètres du front de taille, qu'il bourre d'explosifs et tout un pan de pierre s'abat d'un seul coup. Les gros blocs sont conduits, par des dumpers (camions tombereaux de 35 et 70 tonnes de charge utile), au concasseur principal, puis de là, et selon les attentes, dans autant de concasseurs-cribleurs qu'il le faudra pour atteindre la granulométrie désirée. Les concasseurs secondaires se reconnaissent à leur forme ventrue, surmontés d'une trémie (entonnoir), et au tapis transporteur qui évacue le produit à quelques mètres de là: plus le tapis est long, plus il monte haut, et plus le tas de produit est haut, donc plus il est gros. Un chargeur, en faisant maigrir le tas, nourrit les camions qui font une ronde incessante. Ici, on parle de rotation des camions. Ou le tapis roulant alimente une trémie perchée qui remplira les bennes des camions par le dessus.

Le gisement est considérable: il est évalué dans le document préalable à la reconduction de l'autorisation préfectorale à 2 300 000 tonnes de pierre exploitable pour la décennie envisagée. La production annuelle est de 250 à 300 000 t par an, avec des pointes à 350 000 t en cas de gros besoin de la construction routière (et autoroutière).

la pierre précieuse et la concurrence

 

Le champ géographique de livraison du gravier se situe dans un "cercle" de 100 à 150 km autour du point de source. Au-delà de ce rayon, le gravier est toujours excellent, mais son prix contient de plus en plus de coût de transport. Donc au-delà, le gravier concurrent deviendrait moins cher que celui de Moissey, donc plus acheté.

Le seul moyen d'agrandir ce rayon d'action aurait été d'avoir (eu) la chance de pouvoir profiter d'une voie ferrée ou fluviale, ce qui n'est pas (et ne sera pas) le cas de la carrière de Moissey. A la lumière des explications données par Jean-Louis Dengerma, on comprend bien le souci permanent de Jean-Marcel Téliet (patron de 1930 à 1954) qui avait imaginé toutes sortes de moyens pour rallier Rochefort ou Auxonne (voies ferrées et fluviales).

la carrière en chiffres

 

le 15 avril 2004, à 11 heures

la Société des Carrières de Moissey emploie 24 personnes, dont 2 au bureau,

- 1 chef de carrière,

- 1 chef d'équipe,

- 300 000 t par an (avec autant de découverte) jusqu'à 350 000 t en cas de besoin.

- 4 camions-tombereaux (dumpers) articulés de 35 t de charge utile,

- 2 camions-tombereaux non articulés de 70 t de charge utile,

- 3 grosses pelles mécaniques,

- 3 chargeurs,

- 1 pont bascule,

- 1 garage d'entretien avec petit matériel.

- En période normale, deux postes de travail ouvrier de 5 à 13 h et de 13 à 21 h.

- En période de grosse production, 3 postes par 24 h.

- L'entreprise stocke pour ses besoins en carburant des hydrocarbures dans deux cuves enterrées, à double paroi de 6 et 4 mm (1 cuve fuel de 30 m3, 1 cuve de gas-oil de 30 m3) et 2 cuves à huile de 3,5 m3

- Tirs de mines. L'entreprise ne stocke aucun explosif, le minage étant confié à une entreprise extérieure n'intervenant qu'à la demande.

- L'entreprise est desservie en courant par EDF, mais tourne avec son eau qu'elle récupère, décante et réutilise.

la carrière en dates

 

1850. Création du Chemin Départemental 37 traversant transversalement la Serre et reliant Moissey à Amange et rencontre vraisemblable à ce moment avec le filon d'Eurite.

1905. Petite extraction, par des prestataires indépendants (jusqu'à cette date et même après).

1918. Appropriation par l'Etat pour les Ponts et Chaussées et gestion sous régime forestier.

1924. Extraction Béjean sur les bois Besson.

1930. Construction du P1 sous Jean-Marcel Téliet, ingénieur Arts et Métiers. Voie Decauville.

1935-1938. Extraction (et transport) parallèle dans les bois Besson par Firmin Béjean.

1949/50. Construction du P2 sur les bois Besson sur le socle de Firmin Béjean.

1954. Novembre. Décès de Jean-Marcel Téliet, reprise par ses enfants, jusqu'en septembre 1955.

1956. Construction du P110 par Cogénor (Hubert Chewalinsky) et maçonnerie Bourachot.

1956-1959. L'exploitation passe à l'Est du CD 37, sous le mandat Cogénor.

1960. Arrivée de Alphonse Pernot, et de son fils Camille, en co-gérance avec la SCREG.

1961. Arrivée de Jean-Paul Campanato, le 1er avril, comptable et représentant la co-gérance de la SCREG.

1975. Construction du P3, sous Camille Pernot, par les Ateliers Bergeaud de Mâcon (ABM). Le poste de concassage (P1) est alors transformé en poste de lavage. Autorisation préfectorale d'exploiter 27 ha sur Offlanges (16 le seront effectivement). Installation d'un nouveau poste de pesage.

1995. L'extraction passe sur le territoire communal d'Offlanges.

1996. Le 30 juin, Jean-Paul Campanato prend sa retraite au terme de 35 années de "comptabilité" euritique.

1997. Le 1er mars, Camille Pernot prend sa retraite et transmet la société à son neveu Yves Pernot (fils de Michel Pernot). Jean-Louis Dengerma arrive comme directeur technique.

1997. Démontage du P2 et du P110.

1999. Construction de nouveaux bureaux. La Société des Carrières de Moissey fait des vues aériennes du chantier.

2004. Le 20 juin, journée du Patrimoine de Pays consacrée à la pierre. L'événement est célébré par Serre Vivante et les Carrières de Moissey pour une visite guidée, et par le Foyer Rural de Moissey pour une exposition au Foyer-Logement du village (du 15 au 27 juin).

vers 1910

L'extraction de la pierre au début du XXe siècle (photo Angelo Rossetto, Moissey)

vers 1935

Le trou d'extraction vers 1935. La voie Decauville du fond du trou récupère les pierres, jusqu'à une grue qui ne soulève que les bennes des wagonnets, puis ces bennes sont reposées, à l'étage de traitement, sur d'autres châssis qui circulent sur la Decauville supérieure.

en 1937

L'équipe porphyrique, en 1937. (image empruntée à la famille Turchetto de Moissey)

en 1953

Le chantier en 1953 (exploitation Marcel Téliet) image ©DDA du Jura. P1, P110 et stock à terre.

vers 1956

Le P1 autour de 1956, traversée de la route (image empruntée à l'expo du foyer rural)

en 1962

Le chantier en 1962 (exploitation Alphonse & Camille Pernot) image ©DDA du Jura.

en 1969

Vue du chantier et poste d'enrobé (fabrication des enrobés denses), SCREG. Opérateur Air-Labor Darbois à Dijon en Avril 1969. ©by SPADEM 1963, 12 rue Henner, Paris. Source Camille Pernot.

En 1949/1950. Le poste 2, qu'on pourrait appeler P 2 a été construit sur les Bois Besson

le P2 en 1971, (photo Le Progrès, Christel Poirrier).

En 1975/6

le P3, un dimanche, en 1990. ©Poirrier

En 1997

Carte au 1/25000 IGN, montrant l'emprise générale, passée et présente de la carrière. Document emprunté au dossier de demande d'autorisation préfectorale en 1997.

En 1999

vue aérienne de la carrière porphyrique de moissey ©Société des Carrières de Moissey/opérateur Michel Chevret, février 1999

moissey.com

autres articles sur le porphyre de Moissey

textes de:

Christel Poirrier

1. La carrière ballastière des Gorges de 1920 (recherche de 1971)

2. La carrière ballastière des Gorges, vue aérienne militaire (1925)

Christel Poirrier

3. L'entreprise Jean-Marcel Téliet, (en 1931)

4. Images de la "Cantine d'Offlanges" des années 30, avant la réhabilitation (2003)

Le Progrès-Les Dépêches

5. La carrière porphyrique, la reprise par la famille Pernot, en 1960

6. La carrière porphyrique, vues aériennes DDA/IGN (1953 et 1962) et plan IGN (1979)

7. Le poste d'enrobé de la SCREG sur place (1971)

Le Progrès

8. L'un des meilleurs porphyres de France est extrait à Moissey, le Progrès (1971)

Jérôme Cornéglio

9. L'Eurite de Moissey, par Jérôme Cornéglio (1991)

Christel Poirrier

10. Avec Jean Nicolin, carrier au long cours (1996)

Christel Poirrier

11. L'Eurite de Moissey, par Charles Mignot (1996)

Peinture de ELG et FM

12. Le Poste UN, par le peintre Elisabeth Le Gros (2001) et son papa (1968)
12bis. Le Poste UN, par le peintre Fabrice Martin, aquarelle de 2008

Christel Poirrier

13. les témoins de la carrière porphyrique (1996 et plus tard)

14. Cartes Postales aériennes la carrière de Moissey au long du temps (en attente d'autorisations)

15. Vues aériennes des Carrières de Moissey en 1999

les Moisseyais

16. L'image de couverture, mais en entier (vue aérienne de 1999)

Christel Poirrier

17. La carrière de Moissey, état des lieux, avec Jean-Louis Dengerma, le 15 avril 2004

Christel Poirrier

18. La dynastie "carrière" des Pernot (27 avril 2004)

Christel Poirrier

19. Entretien avec Jean-Paul Campanato, comptable au long cours (13 mai 2004)

Serre Vivante

20. Une visite de la carrière de Moissey pour la Journée du Patrimoine de Pays (20 juin 2004)

Foyer rural Moissey

21. Expo sur la pierre au FPA, le résumé de l'ensemble en images, le 15 juin 2004

Foyer rural Moissey

22. Expo sur la pierre à Moissey, inauguration au Foyer-logement, le 15 juin 2004

Le Progrès, 2009

23. La carrière de Moissey continue

Jean-Marcel Téliet, 1942

24. Mémoire sur la création d'un groupe agricole dans le cadre d'une exploitation industrielle par Jean-Marcel Téliet, entrepreneur TPE, maître-carrier à Moissey, ancien des Arts et Métiers de Cluny, 1942

25. Le parcours d'un gravier depuis le front de taille de Moissey jusqu'au revêtement routier. (attente d'un gravillon candidat)

Christel Poirrier, 2010

26. Jean-Marcel Téliet, maître-carrier à Moissey de 1930 à 1954, sa vie son oeuvre

portail de moissey.com
e-nous écrire