On a
vraisemblablement lu avec
intérêt la lettre d'un
énergumène de Moissey à
son très vénéré
pasteur. L'énergumène
était un avocat qui avait des attaches
avec le village de Moissey, le
vénéré pasteur
était le Curé de Moissey (pour
certains, Curé de Canton). L'avocat
accusait le curé de faire la pluie et
le beau temps dans sa paroisse, et même
plus que ça. Il l'accusait de diriger
les âmes à son seul profit et
d'exercer pour cela une forte emprise, tant
sur les hommes que sur les femmes, sans
omettre les adolescents.
Le
Curé s'est longtemps et âprement
accroché à sa chaire avant de
disparaître
définitivement.
Ces
événements on eu lieu sous le
règne de Louis-Philippe Premier
(1830-1848).
On
pourra observer que dans le "collège
des employeurs" et "celui des paroissiens",
la relation des faits n'est pas du tout la
même.