autour du village de moissey

le bicentenaire de la naissance de Victor Hugo: Victor, j't'adore

par l'école du spectacle doloise, 6, 7, 8, juin 2002

images numériques Christel Poirrier

Près du parvis de Notre-Dame, grand concours de grimaces.

Victor, j't'adore

mettrise en scène de Chantal Mairet

32 images de 15 ko chacune, soye patient ribaud !

Les gens du peuples sont très impliqués dans cette activité.

Ce chahut d'entrée nous remet d'entrée chez un Bruegel (Pieter ?).

Chacun apporte sa frimousse dans le trou.

Le Pape des Fous est porté en triomphe quand arrive la Esmeralda (émeraude).

La Esmeralda danse pour tout le monde.

Attention, Frollo pas loin.

Tiens, justement, le voilà.

Des nonnes, des haudriettes, et un nouveau-né. On est un peu aussi chez Rembrandt.

La Thénardier, Eponine et Zelma.

Sur la table, une drôlesse, sous la table, une Cosette.

Ah, non, elle s'est barrée de dessous la table. "Ces ptiots-là, ça n'a que de l'eau dans la tête".

Jean Val Jean et Co Sette Co.

Jean Valjean est presque bien reçu par la Thénardier.

La Thénardier, la drôlesse, la pièce Quinze-Sous et Jean Valjean.

"Oh, la belle poupée, je l'appellerai Catherine".

Dans le salon bourgeois, présentation de Phoebus. (prononcer Fébusse)

Pierre Gringoire se fait piéger dans la Cour des Miracles.

Frollo a assassiné Phoebus. Si, on l'a vu.

Le final, côté droit.

Le final, côté gauche.

Le grand chant.

A un moment, elles chantent bouche fermée, mais pas ici.

La Chantal a moissonné des dizaines de fleurs.

Après la pièce, la restauration du personnel.

Là aussi.

voir aussi Victor, j't'adore, spectacle dolois du bicentenaire de la naissance de Victor Hugo (2002) Si Dole m'était Comté, spectacle nocturne en déambulation sur 8 lieux du vieux Dole (2003) Lettres de poilus, en gare routière de Dole, (novembre 2003)

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