le
mystère du gros abreuvoir de la
rue haute
Autour de
1962, l'expansion de l'élevage
local de bovins a obligé le
Conseil Municipal (sous le maire
Maurice Besson) à retirer l'auge
de fonte pour construire, à sa
place, une pièce d'eau de grosse
taille, de 5,10 m de long, sur 2,10 de
large et 0,90 de hauteur, soit un
volume de 9,6 mètres-cubes (AB
211).
Puis l'eau
syndicale est arrivée (mars
1963). En 1971, l'entreprise Daniel
Vuillet a démonté
l'ouvrage de Jean Zocchetti (souvenir
de Didier Thomas).
Si on a
pratiquement réussi à
retrouver la forme de cet
abreuvoir:
-
rectangulaire ou presque selon Charles
Mignot,
-
trapézoïdal avec la grande
base contre le caboulot de Virgile,
selon Bernard Chauvin et Robert
Generet,
- "au sujet
de la fontaine dans le virage: le
côté Virgile Ruisseaux
était plus grand que le
côté opposé
(trapèze rectangle) nous a
écrit Elisabeth Brischoux, fille
de Gervais et Lucienne,
on reste
toutefois perplexe devant cette
diapositive d'Edmond Jeannin, prise
autour de 1965, qui nous montre un
angle saillant en direction de la rue
de la Serre.
Illusion
d'optique ? Débordement
d'eau qui aurait changé la
teinte d'une partie du grand
côté situé du
côté de la
route ?
Ceux de nos
lecteurs, et bien sûr, celles de
nos lectrices, qui pourraient faire
avancer cette question seront les
bienvenu(e)s. e-nous
écrire
L'auge de
fonte est allée épauler
l'auge de calcaire qui était
dans la rue basse pour finir, on ne
sait pas encore quand exactement, dans
une pâture Ruisseaux (descendants
de Marcel et Marthe), en face de la
récente tuilerie gallo-romaine.
voir
l'abreuvoir de la rue basse
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la diapositive d'Edmond
Jeannin, (le cousin de Jeanne Martin), autour de
1965.
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"Je suis
catégorique: la forme est celle
décrite par Robert Generet. La "cassure"
au milieu, sur la photo, est simplement une
différence de couleur. Il y avait devant,
au sol, un dallage (disons un carrelage) en
briques rouges. Les vaches venaient y boire. Il
y avait une évacuation de l'eau dans le
coin gauche qui servait en cas de trop plein, et
pour le nettoyage des bouses." (Elisabeth
Brischoux, mieux connue à son
époque sous le nom de Betty et
Lilette).
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Etat actuel
(2004), deux côtés de 2,10 et 5,10
m. La borne fontaine, dont on voit
l'emplacement, était à 3,10 m du
coin survivant. Son emprise, encore visible,
fait 0,55 sur 0,35 m.
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Si
c'était un rectangle, le petit
côté contre le poulailler, le grand
contre la cour. "C'est un rectangle, à un
poil près, j'en suis certain" a
déclaré Charles Mignot, qui est
né dans la maison d'en face.
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Si c'était un
trapèze (grande base contre la cour de
Virgile Ruisseaux), thèse
abandonnée.
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Si
c'était un trapèze (grande base
contre le poulailler de Virgile Ruisseaux),
selon le souvenir de Robert Generet, lorsque ses
parents vivaient en face, dans la maison qui a
été démolie. Cet
emplacement était cadastré AB 211.
Thèse la plus vraisemblable.
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1962-1970
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rue haute:
l'abreuvoir Zocchetti, 1962-1971
enfin
la preuve que les
allégations de Robert
Generet, Charles Mignot,
Bernard Chauvin et Elisabeth
Brischoux sont les bonnes.
image collection de Lucienne
Rovet-Brischoux,
Moissey
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1962-1970
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rue haute:
l'abreuvoir Zocchetti, 1962-1971
enfin
la preuve que les
allégations de Robert
Generet, Charles Mignot,
Bernard Chauvin et Elisabeth
Brischoux sont les bonnes.
image collection de Lucienne
Rovet-Brischoux,
Moissey
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1962-1970
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rue haute:
l'abreuvoir Zocchetti, 1962-1971
enfin
la preuve que les
allégations de Robert
Generet, Charles Mignot,
Bernard Chauvin et Elisabeth
Brischoux sont les bonnes.
image collection de Lucienne
Rovet-Brischoux,
Moissey
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1971 :
démolition de
l'abreuvoir Zocchetti, en
béton. La
généralisation
de l'eau courante et la
diminution du cheptel bovin
ont décidé de
la fin de cet abreuvoir, de
captation Melay. Le trop
plein de cet abreuvoir,
allait, par convention,
dans le domaine Poisot,
plus tard Château,
Greg
Héron
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voir
l'abreuvoir de la rue basse
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