images de Andrée Busch et Bernard Grebot

novembre-décembre 1943

Session ménagère, maison Lormet, AB 144, en 2005 propriété de la famille Flamion et pharmacie.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

Andrée Busch est née le 26 août 1927, à Hérimoncourt,

- de son père Irénée André Busch (né le 21 octobre 1899, et décédé le 22 mai 1961) et

- de sa mère Gabrielle Richard (née le 25 février 1903 , et décédée le 16 mars 1967),

Les époux Busch-Richard ont eu quatre enfants:

- Andrée, née le 26 août 1927, à Hérimoncourt,

- Geneviève, née le 26 avril 1929 à Saint-Claude Guadeloupe,

- Marie-Thérèse, née le 15 mai 1933, à Beaume-les-Dames,

- Camille, né le 15 janvier 1947 à Dole.

Quand la famille Busch est arrivée à Moissey, Monsieur Busch était le sixième gendarme là où il n'y avait que 5 logements à la brigade, elle s'est donc installée dans la maison de Fort Griffon qui est devenue ensuite la propriété de René Chauvin, AB 292 pour la maison, AB 288 pour le verger.

En 1942, Andrée s'est inscrite à l'école ménagère de la Providence à Dole, de novembre 42 à Pâques 1943. C'est à cette époque qu'a été adoptée la petite Françoise Mironoff, réfugiée de guerre, jusqu'au printemps 1944. En novembre-décembre 1944, elle participe à une session ménagère, organisée dans la maison Lormet, AB 144, en 2005 propriété de la famille Flamion et pharmacie.

Elle a ensuite travaillé à la poste de Menotey de février 1945 au 31 décembre 1946. C'est ici qu'elle gardera à l'occasion le petit garçon de la postière qui s'appelait Pierre Duc et a fait plus tard une carrière notoire de plasticien.

Entre temps, elle épouse Bernard Grebot, le 9 avril 1947, devant le maire André Ardin et le curé Paul Grandvaux, avec l'appui de Georges Roy, prêtre assomptionniste et cousin germain de Bernard.

 

De cette union sont nés trois enfants:

- Marie-Thérèse, née le 19 juillet 1948, à Dole, (qui sera mère de: Florent le 5 mai 1973-éducateur sportif et de Géraldine le 12 juillet 1977-professeur des écoles)

- Jean-Pierre, né le 5 septembre 1949 à Dole, (qui sera père de Christelle le 16 décembre 1973-étudiante, Aline le 18 octobre 1976-infirmière et Lionel le 5 janvier 1978-sportif et

- Michel, né le 19 mars 1963 à Moissey (futur père de Thomas le 21 juin 1987 et Justine le 14 août 1990).

Marie-Thérèse a fait carrière dans l'Education Spécialisée et Jean-Pierre et Michel dans la restauration (cuisinier d'hôtellerie).

 

le salon de coiffure

Il a été créé à la place du jeu de quilles (AB 387), le 1er janvier 1946, sous le règne de Charles Grebot. Il a été mis au nom de Bernard le 1er janvier 1949. L'eau a été aménagée au salon en 1951. En 1953, Bernard et Andrée font un stage à Paris, chez Perma. Le 1er décembre 1953, le salon est spécialisé Hommes et Femmes. En 1963, Nadette Grebot y fait un stage d'une durée d'un mois. Les époux Grebot quittent la coiffure le 1er octobre 1984.

 

 

La guerre de 1939-1945

Les jeunes filles pendant la guerre.

En 1941, le 13 décembre, lorsque nous sommes arrivées à Moissey, j'avais 14 ans. Immédiatement, j'ai été accueillie et adoptée par un groupe de filles, de 16 à 22 ans, toutes aussi dynamiques les unes que les autres. C'est Christiane Verrier, à l'occasion de ma présence à ma première messe dominicale, qui est venue m'inviter à rejoindre le choeur de chant.

Pendant la guerre, tout le monde cherchait à se regrouper à se rapprocher. Nous n'avions pas particulièrement peur et nous n'avions pas reçu de directives précises ou contraignantes de la part de nos parents. Nous allions en ballade avec les garçons du village, sur les routes autour de Moissey, il faut dire que chacune de nous avait un frère ou une soeur dans le groupe, ce qui fait que la sécurité était naturellement présente. Tout le monde chantait en ribambelle sur la route de Dole ou celle d'Auxonne.

Quand elle avait peur, maman nous envoyait chez Simonin, pour nous y cacher. Un soir, les Allemands sont venus à la maison, ils recherchaient papa qui était gendarme. Les gendarmes étaient très recherchés par l'occupant, surtout au moment où ça allait mal pour eux, du fait que les gendarmes étaient des hommes armés. Ce soir-là, justement, papa était bien loin...

Nous participions activement à la vie de famille, il y avait à faire pour se nourrir, pour se chauffer, pour s'habiller, pour aller à l'eau. Ces années de guerre ont été difficiles, il y avait des contraintes, mais nous avons quand même réussi à ne pas mourir de faim. Chez mes parents, nous nous sommes mis à l'agriculture et à l'élevage: chèvres, oies, canards, poules, lapins, patates. On portait le blé à Montrambert chez le meunier Lepatey qui nous rendait de la farine. On faisait du sel avec de la gemme, du sucre avec de la betterave, du café avec de l'orge, de la chicorée avec des racines de betteraves. On cousait, on refaisait des habits, du neuf avec du vieux, des pantoufles avec des manteaux, on remarchait en sabots, puisque qu'on trouvait encore des sabotiers au village ou alentour, les galoches étaient revenues à la mode. On tannait les peaux de lapins pour mettre dans les pantoufles. On détricotait et on tricotait. On était nourri au café au lait deux fois par jour, matin et soir.

 

Notre action pour les prisonniers de guerre.

Dans notre grand groupe de filles, on nommait celles de 22 ans les vieilles, on s'activait pour nos prisonniers, à la salle paroissiale (AB 91), la maison Marie Gaillard, aujourd'hui (en 2005) propriété de la famille Raposo. "La Dame au Sourire" est une des premières pièces jouées par les jeunes. Lulu Thomas y jouait, c'était Paulette Carbonneaux qui dirigeait tout. Il y avait aussi un ballet "les Brésiliennes" où on dansait et on chantait. On allait s'exercer au chant chez Mme Robert -fille Lasnier et arrière-grand-mère de Roger Robert, l'actuel propriétaire de la maison de la rue basse AB 52.

Nous jouions 4 dimanches autour de janvier 42, et on jouait encore au mois de mai, à l'occasion de la fête des mères. Avec les bénéfices de notre art, on confectionnait des colis pour nos prisonniers. On préparait surtout des vêtements car la nourriture, lorsque nous en mettions, disparaissait avant d'atteindre ses destinataires. J'ai tricoté des chaussettes, des écharpes, des gants...

 

la dernière semaine de l'occupation.

Pendant l'occupation, il fallait bien sûr être vigilant, ne pas dire ou ne pas faire n'importe quoi. Mais le pire de cette période a été la dernière semaine, au moment où les Allemands se voyaient vaincus et qu'ils cherchaient à repartir par n'importe quel moyen. Ils étaient très susceptibles et avaient tendance à tirer sur tout ce qui bougeait ou mettre le feu partout où ils pouvaient. Nous avons tous eu très très peur.

 

 Les 2 FFI enterrés à Moissey.

J'ai n'ai pas fait partie des requis pour m'occuper des deux FFI qui sont morts le mercredi 6 septembre 1944 dans un accrochage avec les Allemands, car j'étais encore trop jeune. Nous sommes allées jeter de l'eau bénite, puis le vendredi 8 septembre, il y a eu la messe d'enterrement. Les deux FFI ont été portés au cimetière de Moissey, portés par leurs camarades de combat, ils avaient la grenade à la ceinture. Les deux cercueils étaient couverts du drapeau tricolore. Ils ont été inhumés provisoirement dans le caveau de Monsieur Téliet.

 

La session ménagère.

De la Toussaint à Noël 1944, la maison Lormet (AB 144, emplacement de la pharmacie) a accueilli une vingtaine de jeunes filles de Moissey et des environs pour une initiation "ménagère". Pendant ces deux mois, des professeurs de la Providence assuraient quotidiennement des cours pour parfaire l'éducation des filles. Il s'agissait de cours de cuisine, de grammaire, de ménage, d'éducation familiales, d'hygiène, un petit peu de puériculture (c'est ici que j'ai appris à faire les piqûres). Nous mangions à midi sur place et à tour de de rôle nous étions deux ou trois à préparer les repas. J'ai d'ailleurs encore un cahier de recettes, rédigé à cette époque, qui avaient la particularité d'être très économiques.

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La Gare et le Tacot.

J'

 

Le lavoir des Gorges.

C

D

 

La carrière de Moissey

J'

 

La saboterie Béjean

J

 

Le docteur Simeray

C

 

La laiterie

L

 

Le dimanche

L

 

La coiffure

 

Moissey, le lundi 18 avril 2005.

images de Andrée Busch et Bernard Grebot

En 1930.

Bernard Grebot et ses soeurs, Bernadette et Jeannine, à l'emplacement du P1 de la carrière.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 12 novembre 1938.

Noce de Léon Désandes et Anna Verrier.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 15 août 1948.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 26 août 1946.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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En 1949.

La balade du nouveau coq, avec Roger Verrier.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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En 1949.

Roger Verrier à la pointe de la flèche du clocher de l'église.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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novembre-décembre 1943

Session ménagère, maison Lormet, AB 144, en 2005 propriété de la famille Flamion et pharmacie.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Septembre 1943.

Françoise Mironoff, adoptée par la famille Busch, maison [AB 292]

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 5 décembre 1943.

La troupe théâtrale devant le commerce Philibon.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 10 août 1943.

Andrée Busch et son biquet, fils de la chèvre Nénette d'origine Jean-Marcel Téliet..

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Chantier de jeunesse en 1944

Un cousin de Bernard Grebot.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 5 mars 1944.

Neige sur le tout-Moissey

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 5 mars 1944, neige sur tout le village.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 5 mars 1944, neige sur tout le village.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 5 mars 1944, neige sur tout le village.

Geneviève et Andrée Busch

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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La tradition des "mai", en mai 1944, verger de la maison Busch, AB 292 pour la maison, AB 288 pour le verger.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

images de Andrée Busch et Bernard Grebot

La tradition des "mai", en mai 1944, verger de la maison Busch, AB 292 pour la maison, AB 288 pour le verger.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Vendanges familiales en 1952.

Charles Grebot et son épouse Marie, Bernard Grebot et son épouse Andrée, la petite Marie-Thérèse

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Vendanges familiales en 1953.

C'est René Collieux qui pilote le tracteur.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Marie-Thérèse Grebot aux poules, en 1951.

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Aux Gorges de Moissey, en 1952.

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Aux Gorges de Moissey, en 1952.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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La famille Grebot.

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En 1955.

Andrée Busch épouse Grebot devant son salon de coiffure.

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Eté 1957.

Le baptême de Guy Collieux.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 30 mai 1960.

La communion de Marie-Thérèse, l'aînée d'Andrée et Bernard.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Moissey le 15 juin 1962, le passage du Général de Gaulle.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Moissey le 15 juin 1962, le passage du Général de Gaulle.

Maurice (Besson) et Charles (de Gaulle).

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Mars 1966. L'inauguration de la poste.

Edgar Faure et Léon Désandes.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Mars 1966. L'inauguration de la poste.

André Detot et Edgar Faure.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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La nouvelle moto-pompe des pompiers. Année <1965.

Maurice Besson, Suzanne Barbier et Honoré Collieux.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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La nouvelle moto-pompe des pompiers. Année <1965.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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La nouvelle moto-pompe des pompiers. Année <1965.

Robert Barbier et...

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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La nouvelle moto-pompe des pompiers. Année <1965.

Robert Barbier et...

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Le 17 février 1963, à Pesmes.

Le banquet de la classe 23 et associées.

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Février 1979.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Février 1979.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Vue depuis le clocher, avant le lotissement de Fort Griffon.

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© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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Novembre 1986.

Un nouveau crépi pour le beffroi de l'église.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot

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année en recherche.

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1957.

La traction avant Citroën des époux Grebot. Une 11 CV, une des dernières sorties, avec le moteur de l'ID 19.

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Noël 1962 ?

Le Noël des deux classes primaires.

© collection personnelle de Andrée Busch et Bernard Grebot