la
peintresse d'Hagondange sur la piste du
Jésuite
Depuis sa
Moselle natale, Jacqueline Grasset a
réussi à ameuter la moitié
de la planète (j'exagère un peu,
pour donner plusse de poids à mon propos)
pour retrouver un recueil qui a disparu des
rayons et des mémoires depuis
longtemps.
C'est
l'histoire de Jean-Denis Attiret que tout le
monde connaît bien ici, du moins de
nom-depuis le temps qu'on en parle-, Dolois
né à Dole il y a longtemps, parti
soutenir en Chine la micro-société
chrétienne qui s'y trouvait et qui
finalement, s'est retrouvé
embauché par l'empereur tellement il
dessinait et peignait bien.
Témoin
de son temps et son espace, Jean-Denis a
écrit bien des lettres à sa
famille doloise, qui ont été
inventoriées, puis réunies dans ce
que Jacqueline Grasset nomme le volume
Deux.
Elle
voudrait tant savoir ce que le jésuite
écrivait dans cette
période-là et pour le même
prix, nous aussi. Et peut-être vous
aussi ?
S'agissait-il
d'ethnologie, de géographie, de
bondieuseries ? Ou Quoi
Encore ?
Dès
qu'on a retrouvé le volume qui s'est
échappé, on vous en
reparle.
christel
p
NB. L'auteur de l'appel du
Progrès, qui a publié une grande
photo noir et blanc de Madame Grasset, ne nous
dit pas si cette image vient du studio Harcourt,
auquel cas, il aurait dû le
préciser...
NB 2. Le portrait de la
concubine a été acquis pour plus
de 600 000 francs, vous voyez donc bien, que du
pognon, il y en a.